Mémoire de la mère : force motrice de l’écriture chez A. Ernaux et D. de Vigan

María Ángeles Sánchez Hernández; Karine Marie Payet

doi:10.18172/cif.5073

Autores/as

María Ángeles Sánchez Hernández Universidad de Las Palmas de Gran Canaria https://orcid.org/0000-0002-7566-1300
Karine Marie Payet Universidad de Las Palmas de Gran Canaria

DOI:

https://doi.org/10.18172/cif.5073

Palabras clave:

Memoria, madre, autobiografía, escritura, Annie Ernaux, Delphine de Vigan

Resumen

En este artículo estudiaremos dos obras dedicadas a la figura de la madre: Rien ne s'oppose à la nuit (Delphine de Vigan) y Une femme (Annie Ernaux). Se trata de revelar el diferente trabajo de narración autobiográfica que las escritoras realizan en estas dos novelas sobre el duelo por la desaparición materna. Este personaje ocupa un lugar esencial en la decisión de escribir de estas hijas-narradoras quienes cuestionan su propio proceso de escritura debido a las particularidades de la existencia de la mujer que fue su madre. La semilla de la vocación literaria nace de esa relación particular entre ellas y de la voluntad de dejar testimonio escrito de retratos de mujer desde puntos de vista innovadores.

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Biografía del autor/a

María Ángeles Sánchez Hernández, Universidad de Las Palmas de Gran Canaria

Profesora Titular de Universidad

Departamento de filología Moderna, Traducción e Interpretación

Karine Marie Payet, Universidad de Las Palmas de Gran Canaria

Profesora asociada

Departamento FMTI

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