Piedralén, pedralén
nationalisme et particularisme
DOI :
https://doi.org/10.18172/cif.6827Mots-clés :
Espagne, Histoire et roman, siècles XIX-XX, Nationalisme et particularismeRésumé
Piedralén est le nom d'un haut rocher situé au-dessus de Cervera del Río Alhama, aujourd'hui commune de la Communauté autonome de La Rioja. Dans cette ville et en relation avec ce rocher, il y a deux livres qui semblent coïncider et se compléter en termes de sujet. Tous deux traitent de la violence, soit celle du nationalisme espagnol ou du nationalisme basque apparu dans l’après-guerre. L'un des livres s'intitule Piedralén (2010), une œuvre de l'historien de Logroño Carlos Gil Andrés, et l'autre est Ojos que no ven (2009), du romancier de Soria J.Á. González Sainz, où le nom du lieu devient Pedralén. Le but de cet ouvrage est de relier les deux livres au soi-disant ‘problème de l'Espagne’ qui a empêché dès le XIX siècle la formation d'un État harmonisant plus ou moins les particularismes nationalistes.
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Références
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